Pièce pour quatre danseurs.
« Leurs mouvements sont d’une grande inventivité. On voit passer des bêtes à quatre jambes, on assiste à des combats de boomerang gestuel, on contemple des forêts de membres en perpetuelle recomposition… Le tout baignant dans une atmosphère burlesque, qui dégrippe immanquablement la mâchoire. » Nicolas Six, Danser, Avril 2006
Une solitude interrompue. L’intrusion fortuite d’une autre couleur, d’une autre humeur, d’un autre homme. L’inévitable danger de s’estomper, de se laisser toucher ou de rester immaculé.
Quatre solitudes se confrontent, s’effleurent sans jamais se rencontrer au risque de n’être que le passager fugitif de la vie de l’autre.